À chaque fois qu’elle ne se sente
pas bien, Sophie part en voyage. S’éloigner des autres l’aide à surmonter ses
crises d’angoisses. Dès son retour chez elle, elle recommence à s’inquiéter, à
se poser des questions et à avoir peur de son avenir. Elle tourne constamment
dans un cercle vicieux duquel elle est incapable de se libérer.
Sophie souffre de ses pensées
négatives. Elle cède souvent au pessimisme, et se laisse emporter par un
profond négativisme, voire d’une importante sous-estimation de ses propres
potentiels. Elle pense aux obstacles éventuels, se remet en question et développe
incessamment des idées trop négatives : « je suis idiote », « je
suis incapable de réussir », « je suis malchanceuse » « Je
ne sers à rien » etc.
Le problème de Sophie ne peut
être résolu à l’aide d’un voyage organisé. La jeune fille doit apprendre à penser positivement et ce, en se
posant d’abord les bonnes questions : pourquoi ai-je des idées aussi
négatives ? Que devrais-je faire pour positiver les choses ? Elle doit
d’abord, connaître la source du problème pour pouvoir le résoudre.
Comment Sophie peut-elle se libérer de ses pensées négatives ?
Se rabaisser et être intolérant
avec soi-même n’aide pas à résoudre les problèmes. Certes, que ne pas atteindre
ses objectifs stimule parfois notre égo mais se développer des idées négatives
tout le temps est sans aucun doute un comportement destructeur qui déstabilise
la confiance en soi.
Nous avons tous tendance à céder
aux pensées négatives. Mais, cela ne doit pas être d’une manière excessive qui
impacte notre bienêtre. Il faut juste considérer n’importe quel problème à sa
juste valeur. Autrement dit, il ne faut jamais amplifier les choses au
détriment de son estime de soi. Il faut aussi avoir confiance en son propre potentiel
et se convaincre que l’échec n’est pas un prétexte pour reculer. Il est par
contre, l’une des causes d’une prochaine réussite. Bien comprendre cela, aidera
Sophie à atteindre la satisfaction personnelle et le soulagement psychologique.
Sophie doit aussi s’habituer à ne
pas s’inquiéter de l’avenir, à ne pas avoir peur du risque. Car, une telle réaction
face aux obstacles impacte largement l’inconscience ce qui freine la motivation
et stimule le pessimisme. Elle doit se demander concrètement : « Pourquoi
ai-je toujours eu peur de l’avenir ? » « Ne m’est-il pas très
avantageux de vivre des expériences et d’en tirer des leçons ? « Mes
échecs sont-ils vraiment terribles ». Il faut aussi qu’elle mette en
valeur ses réussites et les succès qu’elle a acquis lorsqu’elle a eu le courage
d’affronter ses peurs et ses doutes.
Vient ensuite, la bonne volonté à déclencher une révolution intérieure et à s’engager dans la lutte contre l’intolérance avec soi-même. Ce qui est très important aussi, est de faire la comparaison entre les répercussions de son ancienne manière de penser et les bénéfices obtenue à l’aide de la mise en valeur de ses efforts à rétablir sa confiance en elle.
Vient ensuite, la bonne volonté à déclencher une révolution intérieure et à s’engager dans la lutte contre l’intolérance avec soi-même. Ce qui est très important aussi, est de faire la comparaison entre les répercussions de son ancienne manière de penser et les bénéfices obtenue à l’aide de la mise en valeur de ses efforts à rétablir sa confiance en elle.
Avec le temps, Sophie comprendra qu’’elle
se culpabilisait de longues années de sa vie parce qu’elle n’arrivait pas à
comprendre que l’erreur est humaine, tolérable et qu’elle est aussi nécessaire
dans la vie de tout un chacun. C’est parce qu’elle interprétait mal ses
expériences vécues que son inconscient l’incitait à se culpabiliser et à se
sentir « minable » à cause de n’importe quel échec.
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